Alors quoi de neuf pendant mon absence ? "ta grand mère est morte, tu t'es fait viré, ta femme est partie avec un autre, y'a fallu vendre ta moto pour payer les factures et ta cuisine à pris feu." Bordel mes sims !

noah z. reed

ft. alex pettyfer

VOTRE NOM VOS PRÉNOMS
ÂGE LIEU DE NAISSANCE
STATUT SOCIAL GROUPE

✎ un geek qui s'assume - 99/100 Pour moi il n'est rien de mieux que les progressions technologique, surtout en matière de jeu vidéo. Je suis tellement pour ces mêmes progressions que je suis toujours scotché devant ma playstation 3, ma nintendo wii, ma vielle game cube et autres. J'adore les consoles et je ne sais pas passer une journée sans joué à un de ces petits bijoux des heures durant. Tant et si bien que j'en ai profité pour en faire mon métier. Quoi de mieux que passer sa vie à diriger des employés qui inventent des jeux pour vous et vous laissent tester ces jeux ? Rien, rien n'est mieux que ça. Je suis un geek, ça ce sait et je n'en ai rien à faire. C'est mon truc, c'est mon monde et qu'à cela ne tienne, ceux qui ne sont pas content n'ont qu'à aller voir ailleurs. J'ai toutefois un peu de mal avec les réseaux sociaux et tout ce qui n'a aucun rapport à mon monde de jeux vidéos, chacun son truc dans le fond.[/b]

✎ Quand je rêvasse j'ai tendance à mordiller la lèvre inférieure, je fais pareille quand je suis gêner bien que dans ce cas je passe plus souvent une main dans mes cheveux. Quand je réfléchis j'aime bien jouer avec mes mains, que ça soit faire passer un briquet entre mes doigts, ou un bic. J'ai la mauvaise manie de fumer à n'importe quel contrariété tant et si bien que je suis devenu accro. J'adore manger de la pizza quand je suis devant une partie et j'ai tendance à m'installer devant mon écran seulement vêtu d'un caleçon. J'ai la sale habitude de froisser tout mes costumes avant de les porter et d'éviter la cravate car je trouve ça trop strict. Je fais toujours du mille chose en même temps, une partie en ligne, une conversation sur skype, la vérification d'un dernier projet et parfois même une conversation avec quelqu'un chez moi en vrai. Je suis du genre nonchalant et il n'est pas rare que je me serve de la salle de réunion de ma compagnie pour faire des partie à plusieurs, il faut dire que l'écran géant y est vraiment géant. J'aime la pluie et ce n'est pas rare de me voir sortir pour prendre l'air quand il est pleut, mise à part quand je suis en pleine partie bien sur.

Bouh

✎ behind the screen My name is Bond... Bouh Bond *out¨* J'ai 317 ans(réfléchissez il y a un truc), le forum défonce, autant design que contexte *3* J'ai trouvé cette pépite sur Prd, j'ai tenté de résister mais c'était plus fort que moi alors j'ai rappliqué.

all that is gold is rusting

« Monsieur Noah vous ne devez pas vous servir vous même dans le frigo, dite moi quel est mon utilité si vous m'empêchez de faire mon travail ? » Un sourire paresseux étira mes lèvres alors que je regardais la gouvernante de ma maison me réprimander légèrement. Je finis par hausser les épaules mordant dans la barre de chocolat que je venais de subtiliser. J'avais l'habitude d'essuyer ce genre de remarque, j'avais l'habitude de ne rien pouvoir faire autrement que comme ça a été prévu pour moi. J'avais alors six ans, je me baladais dans l'immense demeure de ma famille, là, à Oxford sans songer au malheur qui nous guettait. Depuis ma plus tendre enfance je me rappel de l'argent à profusion que mon père ramenait à la maison. Parfois nous sortions et j'avais le droit d'être vêtu comme un prince arborant des costumes Dolce & Gabana, Armani et autre, des costumes qui me gênaient et que je portais à contre coeur. Mon père était le gérant d'une chaîne hôtelière qui lui avait fait faire fortune. Son père avant lui avait fait fortune dans l'importation de cosmétique de luxe. C'était naturel dans notre famille de faire les choses en grand. Nous étions destinés depuis notre plus tendre enfance à agrandir l'héritage familial. Quant à ma mère, elle était simple femme au foyer, elle provenait de la classe social moyenne et n'avait pas à se plaindre, une histoire sans remous et une vie sentimentale comblée. Tout était parfait si ce n'était cette langueur que je traînais dans mon coeur. A l'école on me surnommait le "Petit Prince" en rapport avec le livre de Saint Exupéry, d'après mes camarades de classes j'avais tout ce dont j'avais besoin sur ma planète et pourtant j'allais voir ailleurs mû par l'agacement et l'impression de ne pas être assez bien. A leur yeux j'étais le Petit Prince, aux miens la vie m'ennuyait. Les cours m'ennuyaient, ma monotonie m'ennuyait, ma vie m'ennuyait. Je ne me doutais pas alors qu'un mauvais investissement allait tout chamboulé dans ma vie. C'est vrai, on spécule, on joue de la chance et parfois il arrive qu'on se fasse renverser, qu'on cherche à duper le destin, mais c'est lui qui vient nous duper. Mon père avait fait un mauvais choix, un choix qui l'a mené à sauter d'un pont, un mauvais investissement, il a simplement placé son argent dans les mauvais titres faisant tout disparaître. Mes costumes Dolce, nos soirées de galas, nos entrées Vip, notre vie dans la haute société. Tout ça à cause d'un mauvais placement, pourtant, malgré ça mort, ça ne me toucha même pas.

god save the king

Ma mère et moi avons fini sans le sou et à la rue. Heureusement mes grands-parents nous ont aidé dans ces moments dur. De notre palace nous sommes passé à un petit studio tranquille au coeur d'Oxford dont ma mère et moi foulions à peine le sol. J'ai grandi suivant mes études dans mon collège privé grâce à mes notes et à la bourse qu'on m'avait donné ne manquant pas de passé une classe étant qualifié de "surdoué". Du Petit Prince, j'étais passé au Petit Prince Déchu avec les vêtements usés et tout ce qui allait avec. D'un autre côté, je ne m'étais jamais sentis plus vivant qu'à cet instant où tout le surplus avaient été retiré de ma vie. Je ne me nourrissais plus que de l'essence des choses oubliant les artifices et l'éclat de cet argent qui souillait tout ce que j'avais connu. Je finis par grandir s'en attache, rêvassant ma vie plus que la vivant. Je découvris un autre monde dans les jeux vidéos devant lesquelles je passais le plus clair de mes journées. J'ai grandis comme pousse une mauvaise herbe en un coup sans que personne ne le remarque. C'est mon diplôme en poche à dix sept ans que je montais à la capitale sans le sou prêt à vivre en rue s'il le fallait. Je ne savais pas ce que j'avais envie de faire, mon plan de carrière était, pour ainsi dire, assez flou. Je préférais rêvasser dans les parc de ma chère capitale plutôt que de chercher un emploi. Fort heureusement pour moi ma mère me versait de l'argent et je su me louer un studio minuscule où je passais un dixième de ma journée. Le reste du temps je flânais dans un parc une console à la main, j'allais chez des amis afin de jouer à plusieurs et faire des nuits blanches devant nos écrans. C'est à cette époque que je l'ai rencontré. Cette petite française au sourire d'enfer, au regard de braise et à l'orgueil mal placé. Face à elle, je ne saurai pourquoi ni comment, j'ai recouvrer un intérêt pour la vie. Ce n'était pas logique, je l'admets, depuis mon enfance je n'avais eu de cesse de m'ennuyer. La vie était trop lente, trop inintéressante, les jeux vidéos m'offraient de l'action et de l'adrénaline. Pourtant cette file, cette fille c'était pire. Une véritable démone au sourire d'ange. Elle me plaisait, mais je l'indifférais, pourquoi ? Pourquoi est-ce qu'elle ne daignait même pas poser les yeux sur moi ? Parce que je n'avais pas l'argent, parce que dans son désir de gloire et de fortune je ne pouvais la mener nulle part. Je n'étais qu'un indésirable sur le bord de la route. Un indésirable qu'elle aurait vite fait de repousser. Enfin, ça c'était avant que grâce à l'argent de mes grands parents je ne montes une entreprise de jeux vidéo. Une idée assez simple, un concept au gameplay innovant et à l'esprit tout à fait jeune et inventif. Il fallait quelqu'un pour y penser et c'est ainsi que Reed's company est né. Une idée entre ami qui est devenu compagnie de jeu vidéo en moins de temps qu'il ne fallait pour le dire.